Première ville du continent africain à organiser Ocean Hackathon®. 3 défis ont été retenus autour de la préservation des côtes africaines et de la participation du grand public.
Au cœur du grand port maritime de la Martinique, les 10 défis retenus proposent de nouvelles idées pour accompagner une économie bleue en forte croissance et plus de résilience, des valeurs fortes sur cette île pleine de ressources : la navigation, la planification de l’espace maritime, la préservation des écosystèmes naturels, ou encore le développement d’un tourisme durable à destination des personnes à mobilité réduite.
Elle a été la première ville internationale à se lancer dans l’aventure Ocean Hackathon® en 2019. Deux succès qui ont motivé l’équipe locale à réitérer leur présence cette année. Avec 8 défis, les porteurs espèrent trouver des solutions aux problématiques environnementales telles que la pollution marine, l’acidification des océans, les risques naturels, ou des aspects plus techniques, comme l’énergie de la houle.
Capitale maritime du Québec, Rimouski mise sur la richesse du fleuve Saint-Laurent, un des plus longs du monde. Le savoir scientifique et maritime sera mis à profit pour répondre aux 6 défis sélectionnés portant sur la pollution plastique, l’impact des activités humaines sur les oiseaux marins ou encore la reconnaissance automatique des espèces côtières et marines.
Une première participation dans une ville de renommée mondiale. 5 défis ont été retenus et portent sur des sujets très variés : pollution sonore des mers, traitement des données océanographiques, montée des eaux et inondations, ou encore pêche durable.
7 défis sont retenus pour une première participation dont une partie à l’échelle microscopique (laboratoire numérique de microbiologie, génomique marine, identification du plancton) et sur des aspects plus généraux (détection de la pollution plastique, pollution sonore, élevage du saumon ou encore impact du réchauffement climatique sur les albatros).
La ville participe pour la seconde fois. Parmi les 10 défis sélectionnés, un bon nombre tourne autour des activités de pêche, une des filières majeures de l’économie de Boulogne-sur-mer. D’autres défis se concentrent sur l’environnement et la pollution, la découverte du patrimoine maritime ou encore la richesse des zones côtières.
Berceau d'Ocean Hackathon® depuis 2016, la ville de Brest compte cette année 21 défis qui recouvrent un large panel de sujets sur des zones géographiques élargies allant jusqu’aux pôles : la pédagogie, la pollution marine, les risques côtiers, la pêche durable, les sciences marines autour du plancton notamment, la réglementation (brevets maritimes), la navigation et sa sécurité, les technologies comme l’utilisation des drones marins.
La ville espagnole participe à Ocean Hackathon® pour la seconde fois. L’aquaculture est un des secteurs clés pour les acteurs locaux impliqués dans l’événement. L’ensemble des 6 défis proposés traitent de sujets en lien avec ce secteur, notamment sur l’optimisation de la culture des algues et des poissons, les nouvelles habitudes de consommation, mais aussi plus largement sur le tourisme durable et les oiseaux marins.
Première participation pour la ville galloise avec 3 défis concernant les énergies marines renouvelables.
Pour sa deuxième participation, 8 défis relevant d’idées innovantes sur des thèmes variés ont été acceptés : la sécurité de la navigation, l’énergie marémotrice, la pollution par les hydrocarbures, la bathymétrie côtière, la faune marine et l’expérience des visiteurs au sein des aquariums.
Pour sa 3ème participation, La Rochelle revisite la mer à travers 9 défis autour de plusieurs thèmes : la gestion des risques et la sécurité en mer, l’aquaculture durable, le recyclage et le dessalement de l’eau et les nouveaux moyens de lutte contre la pollution.
Pour sa deuxième année de participation, 15 défis sont proposés. Parmi eux, l’étang de Thau suscite un vif intérêt (exploitation, étude de l’eau et des ressources). D’autres défis se focalisent sur des sujets plus globaux tels que l’aquaculture, la conchyliculture, la pêche récréative et les solutions contre la pollution plastique. D’autres encore se questionnent sur les façons de mobiliser le grand public pour identifier les espèces marines, valoriser la biodiversité dans un soucis de développer un tourisme durable.
Pour sa deuxième édition consécutive, 8 défis sont au compteur de Split avec plusieurs thèmes très prisés comme l’aquaculture, la conchyliculture, la pêche récréative mais aussi la pollution marine et l’écologie des espèces marines. La sécurité maritime fait également partie des sujets traités.
Pour sa 3ème année consécutive de participation, la ville du Sud de la France a choisi cette année d’accepter 11 défis. Les thèmes traitent des déchets marins, de la pollution des zones côtières, de la sécurité et du transport maritime, la réduction d’impacts des activités touristiques comme les croisières, la plaisance et les moyens de valoriser et sensibiliser au patrimoine culturel et naturel.
Ile du Pacifique sud dotée d’une richesse marine et d’une exceptionnelle biodiversité, Nouméa peut compter sur les défis Ocean Hackathon® pour participer à la protection de son très grand espace maritime. Le développement durable est une priorité pour les 10 défis sélectionnés autour des activités de pêche, de la navigation, du tourisme et de la santé des écosystèmes. Sa faune marine très dense et souvent menacée fait l’objet de plusieurs défis qui choisissent de se consacrer à l’étude du requin, une spécificité des eaux calédoniennes.
Ocean Hackathon® se tiendra du 5 au 7 novembre inclus dans les 16 villes en parallèle.
Vous souhaitez participer ? Vous pourrez vous inscrire dans la ville de votre choix à partir de mi-septembre.